Rencontre du réseau à Namur

Fricandelle et frite ; zizi coin coin et maredsou ; mais aussi, bien sur, formations mécaniques et débats techniques était au menu de ces 4èmes rencontres francophones du réseau de l’Heureux-Cyclage.
Orchestré de main de maîtres par nos hôtes Namurois, elles furent l’occasion de découvrir ou de revoir les collègues des ateliers francophones et de partager nos expériences et problématiques de développement.
Durant 4 jours, le sérieux l’a discuté à la plus franche déconnade.
Sérieux tout d’abord avec pour les uns des formations autour de la soudure et du vélo couché, pour les autres, une visite instructive (et sportive) de différents ateliers liégeois, à vélo bien entendu. Points forts de ces rencontres, l’inoubliable mini-masse critique, improvisée au plein cœur de Namur, devant les yeux interrogateurs des passants et les klaxons d’encouragements des automobilistes (si si, c’est possible, on est en Belgique). Il me reste encore à évoquer le tournoi de Bike-Polo qui à vu plusieurs cavaliers téméraires lâchés en plein envol par une monture capricieuse (ou le contraire parfois).
En apothéose, l’inénarrable AG finale, suivie de son banquet traditionnel, clôtura en beauté notre périple Wallon.
En résumé, une ambiance chaleureuse et décontractée, des rencontres inoubliables, des discussions enflammées et toutes plus (ou moins) pointues les unes que les autres…
Bref, rendez-vous l’année prochaine à Nancy. Réservez déjà vos places, ça s’annonce plein de surprises !
D’ici là, à tantôt…
La fine équipe Strasbourgo-wallone en léger décalage du XXXII
Et parce que les mots sont souvent plus forts quand il s’accompagne d’une mélodie, en bonus sur l’air de « je l’aime à mourir » (Crédit : Satch, F. C.) :
Moi j’avais bien soif et voila qu’un jeudi,
on croisait un rade et on s’est enhardie,
je l’aime a mouriiiiiir,
On se l’est collé jusqu’à 4 heure du matin,
A base de Maredsous et de zizi coincoin,
Et pendant quat’ jours, et pendant quat’ jours,
Je l’aime à mouriiiiiir,
On a pu faire tout c’ qu’ on voulais,
Parce que Martine, nous l’ permettait,
Michele et Jacques, rois du godet,
Vous nous manquez…
Et Namur aussi…